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Auteurs invités 2026 - Salon photo de Riedisheim

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LA PHOTOGRAPHIE HUMANISTE ET ENGAGEE
39e édition 2026 / Exposition 10-19 avril 2025
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LES AUTEURS INVITES - 2026
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Francis APFFEL (France)

Francis Apffel a commencé son parcours photographique il y a cinq ans, suite à son départ en retraite, avec une attirance particulière pour le noir et blanc, sans exclure la couleur.
La photographie lui permet d'éveiller sa curiosité avec un autre regard, de capter des instants de vie, des instants vécus, de fixer des moments éphémères à travers l'objectif.
Lorsqu’il photographie, c'est que quelque chose attire son attention, parfois un détail, un mouvement, une sensation, une émotion.
L'œil s'arrête, le regard se pose un bref instant, et il capture le monde d'une autre manière.
Le noir et blanc lui permet de souligner les formes, les lignes, les textures, les contrastes, laissant une place aux détails, au jeu de l'ombre et de la lumière.
Une quête d'émotions, offrant à chaque spectateur la liberté d'interprétation pour avoir son propre ressenti.


LE CLAQUE EN SCENE
Plongez dans une rêverie poétique où le chapeau claque devient le gardien de notre imaginaire.
Cette série photographique capture des instants suspendus, où chaque image raconte une histoire intemporelle, invitant le spectateur à voyager dans un univers onirique et envoûtant.
Laissez-vous emporter par la magie de ces clichés, où le réel et l’irréel se confondent pour éveiller vos sens et nourrir votre âme de douceur et de mystère


Pierre-Olivier BEAULIEU (France)

Pierre-Olivier Beaulieu a 58 ans, il réside depuis plus de 30 ans dans la banlieue lyonnaise.
Il découvre la photographie lors des meetings aériens de l’armée de l’air où il a le privilège d’être au plus près des avions et des pilotes. Six ans plus tard, il se tourne et se passionne pour le portrait en studio.
Ce domaine va le conduire à développer toute une créativité artistique. En effet, il a réalisé des photomontages de portraits dans des mondes fantastiques et il a étudié les exigences inhérentes de la photo de studio pendant 14 ans.
En 2019, son regard se tourne vers l’art culinaire et il s’oriente alors en tant que photographe créateur dans ce domaine. Il désire effectuer des recherches de compositions graphiques, artistiques, modernes et contemporaines. Son travail sur l’art culinaire porte sur la mise en valeur d’un élément alimentaire minimaliste, dans un écrin composé de différentes textures très souvent de couleurs uniformes.
Sa volonté est de réaliser une photo comme un tableau, comme une peinture avec des éléments alimentaires aux formes harmonieuses et équilibrées.
Il effectue ses recherches de composition et d’imbrication, de positionnement des formes par des dessins. Ensuite, il décide de l’harmonie générale de son tableau puis des aliments qu’il mettra en place.
A travers ses nombreuses séries, il désire aussi renforcer son identité visuelle par un style de prise de vue, un format de présentation et le minimalisme des éléments qui seront disposés.
Cet univers lui offre encore de vastes possibilités créatives. Ce concept de création de tableaux lui plaît et le motive à poursuivre dans ce domaine où l’imbrication d’assiettes, de couverts et d’aliments se transforme en « œuvre d’art ».
Pierre-Olivier Beaulieu a présenté ses œuvres dans plus de 35 expositions, ces dernières années, dans différents départements en France. Il a plaisir à partager ses connaissances et à présenter son travail dans différents Clubs Photos. Il s’implique également au sein de la Fédération Photographique de France où il exerce ponctuellement la fonction de juge.


FRANGMENTS GOURMANDS
Après la réalisation de séries totalement noires ou entièrement blanches ; la nouvelle série « Fragments Gourmands » est constituée d’éléments alimentaires minimalistes dans des contenants blancs et noirs dont la séparation est faite par des formes géométriques.
Des touches végétales et florales viennent ajouter couleurs, émotions et surprises dans ces compositions.
Fragmenter les assiettes ou la photo par des formes géométriques m’a permis de prolonger celles-ci dans le passe partout afin de renforcer la symbiose des œuvres créées.



Karine CHAVAS (France)

Formation en arts plastiques et appliqués, petit quart de tour du monde, onze années de photogravure textile - avec dessin manuel de précision et infographie - cirque à puce (qui n’a pas fait cela avant 50 ans a loupé sa vie selon elle) puis son travail d’infographiste : couvertures de livres, jaquettes de CD, clips en  stop motion, carterie, retouches...
 
Karine a débuté les expos avec de la peinture à l’huile, plus difficile mais bien plus beau que la peinture à l’eau comme on dit, une technique qui ne souffre en effet aucune imperfection. Elle a d’ailleurs un adage qui dit : Caravage sinon rien ! Et si elle a tenté de réaliser quelques copies de ce maitre absolu, elle a préféré ensuite se tourner vers la photographie, tout en gardant au fond d’elle ce goût pour le clair-obscur.
 
Aussi, plutôt que photographe, Karine préfère l’idée de faiseuse d’images, utilisant des procédés de post-traitement qui permettent d’interroger notre perception de l’image et de la réalité. L'idée de l'entre-deux lui plait, et le mélange des genres (photos, dessin, gravure, peinture...) a fait d’elle une "photographiste" particulièrement proche du mouvement néo-pictorialiste, transformant volontairement l’image afin de la sortir de la simple documentation de la réalité et/ou du sujet photographié. Cette démarche lui permet d’aller plus loin, tout autant dans le traitement esthétique, que dans la lecture plus ouverte de l’image.  
 
Par ailleurs, Karine travaille aujourd’hui en tant que bénévole pour l’association Souvenange qui accompagne par la photo et la retouche les familles qui traversent le deuil périnatal. Comme une seconde manière de boucler la boucle avec les débuts historiques de la photographie (le pictorialisme, apparu au 19è siècle, en étant la première), puisque cette dernière, c’est peu connu, était grandement utilisée pour les images post-mortem. N’y voyez rien de macabre d’ailleurs, la devise de Souvenange étant : « Nous ne photographions pas la mort, nous immortalisons l’amour ».
 
Que ce soit pour cette association ou pour son travail plus créatif, cette artiste pense que la photographie reste un excellent outil pour apprendre à percevoir justement une forme de beauté et de sérénité au-delà des premières apparences.
 Et à la question qu’on lui pose parfois sur son site où profusion d’images il y a : " mais pourquoi diantre autant d'images ? " elle vous répondra par une réplique du film American Beauty : " Et parfois je me dis qu'il y a tellement de beauté dans ce monde que c'en est insoutenable et mon cœur est sur le point de s'abandonner. "


NUDUM CORPUS
12 images numériques, tirages 40x60cm dans cadres légers 50x70cm sur papier d’art texturé. Crochet à l’arrière du cadre. J’emmènerais les œuvres pour l’accrochage, à étudier pour le décrochage (j’habite Aix en Provence, à voir si covoiturage possible pour décrocher en présentiel, ou en laissant grand carton et renvoie par la poste...)



Luc GEORGE (France)

Diplômé de l’École Nationale des Beaux-Arts de Dijon
Dirigeant d’agence de publicité et conseil en communication
Enseignant en graphisme et communication à la HEAR à Mulhouse (Haute École des Arts de Rhin)
Une vie professionnelle passée dans la communication, l’image, le graphisme, après une formation reçue dans une école d’Art, l’auteur a forcément une influence sur la perception de la photographie.
A l’heure des sites de liens sociaux et des smartphones, il se pose la question du statut d’une image photographique aujourd’hui.
Est-elle objective ? Le message photographique est-il un message codé ?
Poser la question, c’est déjà y répondre.
Entre l’émetteur et le récepteur, il y a un filtre. Le photographe filtre ses images pour les restituer à son public. En ce qui le concerne, son filtre est fait de sa culture, de son passé, de ses certitudes, de ses doutes, de ses engagements, et de ses convictions.
Ses images en sont le reflet.
Aujourd’hui, il questionne principalement la société et son cadre de vie.


TITRE DE LA SERIE
Nous ne les voyons pas et pourtant ils sont dans une gare de la vallée de la Roya, dans un squat de Calais, sur les bords du lac de Trasimeno en Italie, à Killis sur la frontière turque, à Belgrade en Serbie, dans la poudrière de Moria sur l’île grecque de Lesbos
Ces « invisibles » nous regardent et nous disent toute leur détermination à vouloir rester debout malgré les traumas endurés sur les voies de l’exil.
Leurs regards sont aussi accusateurs : plus encore à travers l’objectif, ils me disent que rien ne justifie le sort que notre indifférence leur inflige.



Prénom NOM (France)

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TITRE DE LA SERIE
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